En partenariat avec la Ferme des Jeux de Vaux-le-Pénil.
Une rencontre sensationnelle, un véritable coup de foudre sur la scène de l’Auditorium de Radio France (le 14 février 2018, jour de St Valentin, ça ne s’invente pas!) lui donne l’envie impérieuse de construire son nouveau répertoire autour de la formation composée alors de Grégory Privat au piano, Chris Jennings à la basse et Arnaud Dolmen à la batterie. De là naît « Skin in the Game » où, fidèle à ses convictions et à sa démarche, David Linx décide de mettre en lumière mais surtout en paroles et en musiques la beauté et l’amour qu’il s’efforce de percevoir en ce monde. C’est le rôle qu’il s’assigne en véritable artiste : montrer comment nous sommes tous, comme à fleur de peau, partie prenante de notre époque.
« Chanteur quelque peu atypique dans le monde du jazz, David Linx impose sa personnalité et se refuse à parcourir les sentiers battus. Un équilibre exquis entre les voix et les instruments : jamais de combat ni de rivalité, mais une osmose toujours délicate et raffinée, servie par des arrangements épurés, d’une efficacité désarmante. » CITIZEN JAZZ
Ce concert est organisé dans le respect des mesures sanitaires en vigueur (gestes barrières, gel hydro alcoolique à disposition, masques, etc.)
En partenariat avec la Ferme des Jeux de Vaux-le-Pénil.
Une femme, une maison et puis la mer
Un spectacle en musique et en images, pour raconter la femme, ses enfants, ses amours, la maison, les objets, les photos, les souvenirs, la joyeuse pagaille… Raconter aussi l’écriture dans la solitude retrouvée. Et enfin, le bain dans la mer, ultime ressource, vivifiante. Se brosse un portrait drôle et acidulé, repris délicatement en écho par les films en Super 8.
Cet événement est organisé dans le respect des mesures sanitaires en vigueur (gestes barrières, gel hydro alcoolique à disposition, masques, etc.)
En partenariat avec la Ferme des Jeux de Vaux-le-Pénil.
Codex III
Dans ce nouveau chapitre, les trois musiciens poursuivent l’exploration de la transformation des sons acoustiques de leurs instruments avec tout un système personnel de traitement électronique du son : pédales, filtres, samples, reverbs et autres effets de loops, en plus des sons échantillonnés du laptop piloté par Michele Rabbia, sans oublier l’extraordinaire violon ténor électronique (registre plus grave) qu’utilise Régis Huby en alternance avec son violon acoustique augmenté.
Ce set improvisé s’organise sans coupe ni montage en une suite de longs plan-séquences fluides et virtuoses, la musique de Codex est à la fois onirique et romanesque, ouatée, méditative et violemment pulsionnelle.
Cet événement est organisé dans le respect des mesures sanitaires en vigueur (gestes barrières, gel hydro alcoolique à disposition, masques, etc.)